DIFFERENT ≠ DE

La diversité des savoirs faire présent dans l’atelier permet d’aborder de nombreux projets allant de l’architecture à l’objet en passant par l’espace, la signalétique et la scénographie. Offrant un regard transversal sur les différentes étapes de projet et de suivi de chantier.

 

Si le terme « atelier » a été préféré à celui d’agence, c’est que le processus de travail y est plus artisanal – au sens noble du terme – relevant d’avantage du sur-mesure que du prêt-à-porter. De l’art de vivre plutôt que du prêt-à-habiter. Ainsi, l’atelier est déterminé comme un lieu de fabrication du projet.

 

L’intelligence de la main /Dessiner ne suffisait pas.

 

Une collaboration avec Gilles Gauthier (Architecte) et Vincent Obadia (Architecte) se prolonge depuis 2007, à travers l’atelier d’architecture DIFFERENT DE (fondé en 2009) et au sein du collectif 15/17 (fondé en 2016, il est conçu comme un groupement de compétences destiné à couvrir le large champ de la construction et du design).

L’atelier s’est installé, depuis 2017, à Paris, avec un studio de design et un studio de graphisme, toujours dans un but de transversalité, et d’une recherche permanente de la création de synergies des savoir-faire au service d’œuvres communes.

 

L’atelier d’architecture DIFFERENT ≠ DE articule son travail principalement autour d’appels à projet public, de commandes privées (particuliers, entreprises...).

 

..valeurs

 

Concevoir, aimer et offrir.

 

Concevoir de l’urbain, de l’habitat, un équipement, du retail, du mobilier, c’est offrir une expérience, offrir une émotion, raconter une histoire, créer les conditions de convivialité, d’éveil, offrir un confort, c’est offrir les conditions idéales.

Pour cela il faut aimer les personnes pour qui l’on créé, mais également que ce que l’on crée aime ces personnes : le dessin lié au dessein.

 

La singularité du regard de transversalité des échelles permet l’esprit du projet.

 

Comprendre les acteurs, les enjeux, les usagers, permet d’adapter la pédagogie et le processus du projet, afin de répondre aux objectifs collectivement fixés.

En plaçant l’usager à l’épicentre du projet, la création peut ainsi se déployer dans toutes les dimensions de façon uniforme. Le concepteur devient alors le catalyseur des désirs, des envies.

Écouter, respecter, hiérarchiser, conseiller ; il ne s’agit pas de suivre ou d’être suivi mais de marcher ensemble. D’avancer ensemble. De construire ensemble.

 

La création doit être la plus globale possible et explorer un maximum d’échelles. Elle doit transcender le cloisonnement professionnel et la notion d’intervenants.

 

Défendre une vision du futur.